Elogio dell’imperfezione

“La souffrance est vive. La solitude pèse. La barbarie est en verve. On tue les innocents, on les égorge, on viole les petites filles, on détruit des cultures, on bombarde des trésors de la civilisation universelle… Et la poésie est devenue silence, absence, à moins qu’on n’ait plus l’oreille assez fine pour l’entendre.” (Tahar Ben Jelloun)

“La sofferenza è viva. La solitudine pesa. La barbarie impazza. Si uccidono gli innocenti, si sgozzano, si violentano le bambine, si distruggono culture, si bombardano tesori della civiltà universale… E la poesia è diventata silenzio, assenza, a meno di non avere un orecchio particolarmente sensibile per intenderla.”